à l'aide.... Bordel pourquoi moi.... 

Bon une bonne petite promenade pour me mettre en forme je laisse les recherche de côté de toute manière sa mène a rien je ne trouve pas mais je lâche pas je sais que elle est toujours en vie au fond de moi je le sens encore une histoire de jumeaux.

Mina est parti en ville avec des copine moi je vais dans la vielle place de la ville juste pour me dégourdir les jambes je connais par cœur cette ville maintenant et franchement sa lasse toujours.

Je me retrouve dans une vielle ruelle qui longe la place oh super c'est ici que tout les clochard de la ville se retrouve je vais vite faire marche arrière mais je me retrouve plaquer contre le mur avec force, une fille pas très propre me regarde et je crois que elle veux me voler

Oh vous allez me lâcher si c'est du fric que vous voulez prenez le mais laisser moi tranquille

J'essaye de la pousser mais cte fille est trop forte elle à avaler quoi à la naissance elle du produits rohh me voila dans ce salle drap je fais quoi je hurle genre on va venir me sauver dans cette ruelle.

AU SECOURSSSSSS

oué ben voila c'est malin elle est encore plus énervé je la regarde

Lacherrr moi bordellll vous voulez mon tel mon fric prenez tout mais laissez moi je suis trop jeune pour mourir .

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à l'aide.... Bordel pourquoi moi.... 

Elle était venue à Vérone car, selon ses recherches, son frère se trouvait là-bas et il était absolument hors de question qu’elle reste sagement à Rome avec son accompagnateur et ami le temps qu’ils se posent, qu’ils se fassent au décalage horaire et de trouver une adresse précise pour Eros. Gaia n’était pas patiente alors dès l’instant où son ami avait eu le dos tourné, elle s’était saisi d’une partie de l’argent qu’ils avaient à disposition pour prendre un taxi d’accord pour se farcir plus de 5h de route et voilà comment elle s’était retrouvé dans les rues de Vérone à errer, telle la vagabonne qu’elle était au plus profond d’elle-même. Après tout, ce n’était pas pour rien que ces dernières années s’étaient avérée compliquée : à force de fuguer. Une fois encore aujourd’hui, ses recherches avaient été infructueuses et pour compléter le tableau, elle avait une faim de loup et pas un rond en poche. Ce qui expliquait le fait qu’elle ait attrapé le premier marlout passant par-là, même si de toute évidence, il n’était pas le plus brave en ville.

— Mais, mais, mais… singeait la jeune femme avec son fort accent américain, un sourire moqueur aux lèvres tandis que l’individu lui faisait face lui disait de tout prendre tant qu’elle le laissait en paix.

Pas question de le laisser fuir et elle rafermissait sa prise, son bras appuyé sous la gorge de ce gamin sans doute trop gâté par la vie. Il puait le fric, tout l’inverse d’elle qui, soyons honnête, sentait plus un mélange de phoque mort et de poubelles.

— Mais tu vas la fermer oui ?! Personne ne vient ici, sauf les crétins.

Tout le monde savait que cette rue était un vrai coupe-gorge, même les touristes, c’était dire ! Pourtant en l’entendant clamer qu’il était trop jeune pour mourir, Gaia roulait des yeux en étouffant ce qui ressemblant fortement à un début de rire.

— Trop jeune pour mourir ? Désolé de te l’annoncer, princesse, mais la vie est une pute et si tu dois crever jeune, ça arrivera que tu le veuille ou non.

La preuve, sa mère était morte avant ses 20 ans et leur père était bien trop jeune aussi au moment de son trépas. Alors qu’est-ce qu’elle en avait à foutre des états d’âmes d’un morveux italien ?

— Je veux ton fric, et que tu me payes de nouvelles fringues, une entrée à la piscine pour que je me douche… et que tu me fasses entrer dans la mairie.

Là-bas, elle pourrait sans doute trouver une trace précise d’Eros, si elle trouvait où étaient gardés les états civil. Puis… si elle se faisait chopper… un séjour de plus en prison n’allait pas la tuer.

— Oh et... c'est un ordre bien entendu, je ne te demande pas ton avis.

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Voila que je me retrouve dans cette ruelles alors que j'étais perdu dans mes pensées et je tombe sur cette fille qui me plaque au mur et viola ment en plus elle commence à parler et je peux toute de suite comprendre que elle n'ai pas d'ici elle viens d’Amérique comme moi à l'époque. Alors que j'essaye de me défendre elle passe sont bras sur ma gorge et ne fait que serrer sa prise je suis dans de beau drap moi. je hurle mais bien sur elle demande de me taire. Bon elle a raison dans cette rue personne ne va venir à mon secours mais la je tente le tout pour le tout et quand je lui dit de tout prendre et que je suis trop jeune pour mourir elle se fout de moi oui j'avoue je les chercher aussi celles la.

Comment sa tu veux me tuer mais j'ai rien fait...

mais je ne peux finir ma phrase car elle donne enfin la raison de sa violence

Si tu me lâche pas j'aurai du mal à dire oui a ta demande

Bon j'ai pas le choix de toute manière et en plus elle demande cela comme un ordre et comment dire moi avec les filles je suis toujours en dessous de tout je la regarde et je comprend elle ne sens pas bon du tout elle à vraiment besoin de se doucher je commence a comprendre que cette fille est venu d'Amérique direct et cherche un truc. J'arrive enfin à lâcher prise et m'écarte et caresse ma gorge

Si j'accepte tu me laissera tranquille après ??

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C’était mal de se payer la tête d’un pauve bougre comme ça, mais franchement ce gars était vraiment faiblard. Plus qu’elle quand elle était gamine et s’accrochait à son frère pour ne pas avoir peur du noir. Pourtant qu’elle était trouillarde en étant petite, tout le monde pouvait l’affirmer… jusqu’à ce qu’elle change du tout au tout.

— Je n’ai pas dis que j’allais te tuer, crétin des îles. Juste qu’on ne choisissait jamais l’instant de sa mort, autrement il y aurait moins de connards encore de ce monde, et plus de gens méritant d’être encore ici.

Mais elle n’allait pas déballer sa vie à ce mec qui ne la connaissait pas, et qu’elle était en train de braquer de toute manière. Ce serait comique d’un sens, de dépouiller un type de tous ses biens et ensuite lui demander de jouer les psys pour elle ; le gnome qui se fout du nain de jardin. Constatant en tout cas qu’elle le serrait trop fort, Gaia relâchait un peu sa prise et hochait la tête. Bien entendu qu’elle le laisserait partir, son rôle était plus une façade, et jamais elle ne ferait volontairement du mal – enfin plus que là – à un étranger qui ne lui avait causé aucun tort.

— Si tu acceptes, tu n’entendras plus jamais parler de moi. Je te rendrais même l’argent qu’il restera après la piscine, les fringues et un petit sandwich.

Fallait quand même pas déconner, elle avait la dalle depuis quelques jours à ne manger que ce qu’elle pouvait trouver ou chipper à l’étal d’un restaurateur ambulant. Voler oui. Faire peur, carrément. Mais jamais elle ne voulait prendre plus que ce dont elle avait besoin. Quel serait l’intérêt de posséder tant de frics dans la rue ? Elle risquait juste de se le faire voler… ce dont elle n’avait pas envie. Attaquer un gamin comme ça ok, mais les mecs de la rue étaient bien plus costauds qu’elle.

— Alors si tu veux être rapidement débarrassé, allons-y maintenant. Si tout se passe selon mon plan, je te promet que cette petite histoire ne sera qu’un mauvais souvenir facile à oublier pour toi. Tu retourneras à ta vie d’avant et moi à la mienne.

Même si pour elle, sa vie d’avant remontait à des années plus tôt, avec son frère. Elle se jurait d’ailleurs de faire un petit discours bien salé à ces gens ayant osés le prendre loin d’elle. Si elle détestait les parents adoptifs d’Eros ? Bien entendu, depuis toujours. Si cela ne risquait pas de peiner son frère, elle aurait sans doute envie de les tuer d’ailleurs.

à l'aide.... Bordel pourquoi moi.... 

Mais pourquoi moi cette fille veux ma peaux il fallait que sa tombe sur moi la je veux être chez moi avec ma famille et ma sœur pas dans cette rue avec une folle furieuse qui veux ma peaux

Je sais se que c'est la mort hein j'ai perdu mes parents alors viens pas me parler de ton discourt ....

Non tu a grave ton cas la ne dit plus rien sinon sa va encore se retourner contre toi quand enfin elle me dit que j'entendrai plus parler d'elle si je l'aider j'ai plus le choix de toute manière

Comment cela me rendre l'argent je comprend rien ....

Je me suis écarter d'elle et la regarde

Alors oui allons y

Je l’emmène donc à la fameuse piscine et reste silencieux pendant le trajet et marche assez vite plus vite c'est fini plus vite j'en saurai débarrasser on arrive enfin devant les portes je rentre et lui paye sa place et la regarde et lui donne

Tiens ta place tu peux aller prendre ta douche ...

Bon genre elle va me laisser l'attendre devant elle va se douter que je vais partir mais je tente on sais jamais

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Il avait perdu ses parents ? En entendant cela, Gaia se sentait – un peu – mal car elle savait aussi ce que c’était que de se réveiller la nuit en espérant que l’un de ses parents vienne la prendre dans ses bras pour la rassurer. Au lieu de quoi, la solitude était la seule réponse… celle qui aggravait encore plus cette sensation de ne pas avoir de place dans ce monde où la norme, pour bien des crétins, était l’image d’une belle famille unie. Dans tout cela, les orphelins étaient des chiots à ramasser sur le bord de la route, ou de futurs éléments perturbateurs, qui ne méritaient que leur dédain. Par contre, ce type était un peu lent quand même. Il ne semblait pas comprendre qu’elle ne voulait pas le voler par plaisir mais par nécessité et que de fait, elle ne prendrait que ce dont elle avait besoin.

— Pour qui tu me prends ? Je ne prend pas plus que ce dont j’ai besoin. Même si tu le mériterais vu comme tu es trouillard, ça te farait les pieds tient.

Une menace en l’air. Elle n’irait jamais faire cela… malgré les apparences, les airs de dure qu’elle se donnait, Gaia était loin d’être la peste sans code et sans manières. Dans la piscine, elle vit quelques personnes la dévisager avec un dédain certain mais sans se dégonfler, la jeune femme les fixait un à un dans les yeux, comme pour les mettre au défis de dire quoi que ce soit sur son apparence ou son odeur. Oui elle n’était pas conne, elle savait qu’elle devait sentir le rat crevé.

— Écoute mon grand, je ne suis pas totalement stupide. Tu vas te tirer si je te laisse ici alors tu rentres avec moi, mais tu évites de te rincer l’œil, autrement je te crève les yeux.

Mêlant le geste à la parole, la blonde attrapait l’autre jeune par le poignet pour le tirer vers le vestiaire où se trouvait les douches. Dans un coin, elle jetait son sac à dos et fronçait les sourcils en cherchant ses affaires de toilettes dedans.

— Bonne nouvelle pour toi, apparemment j’ai encore des fringues propres là-dedans. Tu vas faire une économie. Mais franchement, n’en profite pas pour te tirer, je compte sur ton aide.

Elle ferait tout pour retrouver son frère et si ce type se tirait, elle serait capable d’employer les grands moyens pour avoir à sa disposition l’aide nécessaire. Quitte à entrer par effraction dans l’hôtel de ville ou plus encore. De fait, pendant qu’elle était sous sa première douche chaude depuis ce qui lui semblait être une éternité, Gaia continuait de parler afin de s’assurer que sa victime du jour ne se sauvait pas.

— Tu sais, pour ce que tu disais un peu plus tôt… moi aussi je sais ce que c’est de perdre ses parents. J’ai grandis en foyer, alors tu peux me croire quand je dis que j’aurais tout donné pour qu’au moins l’un d’eux soit encore de ce monde.

Surtout son père. Elle n’avait pas de souvenir de sa mère, en dehors de photos, donc elle lui manquait bien moins. Après quelques minutes à parler ainsi, la blonde était enfin de retour dans une apparence normale, loin de la couche de crasse qui la couvrait avant et surtout dans des habits propres, ce qui n’était pas négligeable du tout. Heureusement qu’il lui restait cette robe propre au fond du sac et que la météo permettait de porter ça sans geler. Tout son barda rangé, Gaia tendait sa main vers le jeune homme.

— On y va ? Tu seras bientôt débarassé.

à l'aide.... Bordel pourquoi moi.... 

J'y crois pas elle me traite de trouillard bon j'avoue c'est un peu vrai je le suis devenu avec le temps mais même c'est pas une raison

Oué j'imagine bien ..

je ne répond pas plus pour quoi faire pour aggraver mon cas on est à la piscine et j'essaye temps bien que mal à partir mais bien sur elle marche pas et me prend avec elle je la suis et elle rentre dans la douche je tourne la tète elle me demande de pas regarder aucun risque elle me dit aussi que elle à des vetement propre et que je vais faire des économie

oh chouette alors

Ironique oui elle me parle pendant que elle est sous la douche et me dit que elle aussi à perdu ces parents je l'écoute vraiment cette fois ci elle me dit que elle à grandit dans un orphelinats comme ma jumelle je serre les dents et me détend soudain un peu

Oui ... je connais j y suis passer aussi pendant plusieurs année avant d'être adopter ...et oui moi aussi je voudrais que mes parents revienne même si j'ai trouvé une famille aujourd'hui il manque toujours une chose...

Bon je n'en dit pas plus je suis pas la pour déballer ma vie non plus elle sort soudain de la douche et la je la regarde étrangement son visage mes familier mais je ne serai dire d'ou elle me prend pas le bras et on se glisse dehors et la on va vers le marchand de frites et je lui paye de quoi manger et reste encore en retrait et la regarde elle est totalement différente sans tout la crasse de tout à l'heure je les déjà vu quelque part mais ou je sais pas. Au moment ou je lui donne la barquette de frites je remarque a son poignet une trace de naissance. Je reste un moment totalement figée et je la voie s’asseoir sur un banc et croquer ces frites.

Je réalise enfin les parents mort aussi l'orphelinat le fait que elle est pas un sous .... je me dirige vers elle et balance la barquette de frites elle commence à vouloir s'énerver et et lève et j'en profite pour la coller contre un mur plus proche et la regarde

La je pense que on doit arrêter le jeux maintenant .....

Je soulève ma chemise et lui montre ma tache de naissance

Tu la reconnais Gaia .....

Plus de toute je viens de retrouver ma jumelle dans de sacrée circonstance mais la le doute ne passe pas j'en suis sur c'est elle

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Les gens pensaient toujours pouvoir imaginer les choses. Imaginer ce que c’était que de vivre sans ses parents. Imaginer ce que c’était que d’être, aujourd’hui encore, effrayé par le feu car son père était mort comme ça. Terrifié dès qu’il fallait aller au médecin, de crainte qu’elle ne soit elle aussi atteinte du mal ayant touché sa mère, même si on la rassurait rapidement en lui annonçant qu’elle devait arrêter de dormir avec la climatisation si elle ne voulait plus chopper la crève en plein moins d’août… Ha ça oui, les gens aimaient croire pouvoir imaginer tout cela, mais Gaia n’était pas dupe. Loin de là même. C’était de la sympathie… ou du moins le pensait-elle jusqu’à entendre que ce type était aussi un orphelin. Enfin, un ancien orphelin, il avait désormais une famille qui, de toute évidence, devait l’aimer et prendre soin de lui. Est-ce que cela soignait la douleur causée par la perte des siens ? Finissait-on par les oublier, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que de vagues souvenirs ? Gaia n’avait jamais oublié pour sa part. Ni le visage, ni le parfum, ni la voix de son père quand il venait leur raconter une histoire au moment de se mettre au lit. Est-ce que son frère, où qu’il soit, se rappelait aussi de ces sensation ? Ou est-ce qu’il avait fini par tout oublier au profit de ses nouveaux parents ? Si tel était le cas, inutile de dire que Gaia allait sans doute lui botter le derrière en le retrouvant. Nul n’avait le droit de remplacer leur père, pas même des bourges italiens. Surtout pas des bourges italiens en réalité.

Une fois dehors, Gaia n’avait fait aucun commentaire sur le passé de son accompagnateur, même si elle s’était un petit peu détendu. Assez pour ne pas avoir l’air totalement hostile en tout cas… à moins que ce ne soit du fait de la douche. Dans tous les cas, se poser pour un repas chaud – même si ce n’était que des frites – faisait un bien fou à Gaia… jusqu’à ce que la barquette se retrouve par terre à cause de l’andouille l’accompagnant.

« Non mais ça va pas la tête ! Qu’est-ce qui te prend à balancer de la bouffe comme ça ?! »

Bien sûr qu’elle commençait par râler, avant de se débattre comme une lionne dès lors que le jeune homme semblait agir de manière totalement différente d’un coup. Comme s’il avait trouvé son courage son un rocher. Est-ce qu’il en avait soudain marre de se faire marcher dessus par une fille ? Le jeu ? Quel jeu ? Qui avait parlé d’un… wait… Gaia ? Pour sûr, la blonde ne lui avait jamais donné son prénom. Il aurait fallu être stupide, puisqu’avec son nom, il aurait été facile de porter plainte contre elle ou encore que sa présence remonte aux oreilles de celui l’ayant accompagné dans ce pays de fous.

« T’es qui toi ? Un flic ? On t’a demandé de venir me chercher ?! » pestait-elle, son regard rivé sur la tâche de naissance qu’elle reconnaîtrait pourtant partout. Elle savait qui avait cette marque, car leur père avait la même. Mais son cerveau refusait d’avaler l’information. « Tu… Tu ne peux pas être LUI. Elle est fausse. Mon… Il n’est pas un trouillard comme toi ! »

Son frère était courageux, elle s’en souvenait. Même si son cerveau pouvait avoir altérer ses souvenirs pour mettre son jumeau sur un piédestal dont elle refusait de le faire descendre.

« Mais vas-y, je vais te poser une question, et si tu réponds mal, je te jure que je te pètes les dents, » soufflait Gaia, avant de demander : « Comment s’appelait la deuxième femme de papa ? »

Bien entendu, c’était une question piège. Leur père ne s’étant jamais remarié vu qu’il se consacrait totalement à ses enfants. Mais personne ne pouvait savoir cela, en dehors d’une personne ayant partagé leur foyer.