Il y a bien longtemps que Stefan et moi n'avons pas foulé la terre italienne de nos bottes. Il nous est parfois arrivé de flirter avec les limites de la cité de Volterra, mais nous n'avons jamais eu la folie de décider d'une attaque directe sur nos ennemis mortels. Nous avons cependant l’ouïe fine, et nous avons entendu cette rumeur évoquant la présence de Carlisle et de ses alliés dans le même pays. Assez peu habituel pour nous faire prêter l'oreille. Les yeux jaunes auraient-ils décidé que l'heure de la seconde bataille était venue? Une chose est certaine. Les Volturis ne seront pas anéantis sans notre présence. Nous détesterions rater une telle fête!
Donc, la décision de quitter le Danemark où nous prenions un peu de bon temps pour rejoindre des terres plus ensoleillées et moins accueillantes n'a pris qu'une demi seconde à être prise, sans que nous ayons besoin de nous concerter outre-mesure. Et une demi-heure plus tard, nous voilà arrivés aux portes de Vérone. Où nous nous séparons le temps d'une chasse. Rapide, pour ma part. Je ne m'octroie qu'une dizaine de kilomètres de distance avec la ville pour trouver une proie au sang chaud que je vide rapidement, avant de revenir tranquillement vers Vérone.
Pourquoi me presserais-je? Si les Volturis étaient prêts à attaquer, cela se verrait. Aro est si prévisible. J'en profite donc pour observer le paysage, et étudier chaque chose utile en cas de combat. M'arrêtant près de la rivière, je m'agenouille sur les galets de la rive, glissant mes doigts dans l'eau qui aurait du me paraitre froide, mais qui, en vérité, me parait presque brulante.
Un sourire mauvais me monte au visage quand des pas se font entendre derrière mon dos. Après tant d'années, le voilà qui se présente à moi, seul à seul. On pourrait croire que c'est mon jour de chance. Bien que je dusse avouer que le don d'Isabella est un avantage dont j'aurai aimé ne pas avoir à me passer. Je serai curieux de savoir ce que ça pourrait donner, à la loyale. Je ne prend pas même la peine de me redresser, ou même de tourner le regard vers lui, me contentant de porter mes doigts humides à mes lèvres. Comme si il m'était encore possible d'apprécier le goût de l'eau fraiche. Stefan ne devrait pas tarder à me rejoindre, de toute manière.

"Ta charmante sœur n'est pas avec toi? C'est si rare, de vous voir séparés..."

D'autres se chargeront d'elle plus tard. Pour ma part, c'est la jolie tête de Alec que je souhaite trancher. En remerciement de toutes celles qu'il m'a arraché.

Je me promène loin du château j'ai cette humaine dans la tète Mina , son image ne me quitte plus depuis que je les rencontrer quelque jours plus tôt et je pense beaucoup à elle mais voila la sécurité de la jolie demoiselle est risquée dans ma famille ou même encore au yeux de tout les autres vampires. Elle connais note existence et la règle et clair.

Depuis je cache mes sentiment de peur que une personne au château le remarque j'évite Jane au maximum mais à vrai dire elle pleure tellement le départ de Aro et maudit Caius que elle ne remarque rien.

Je suis en pleine promenade quand je sens une odeur familière mais qui ne plait pas du tout à vrai dire. Je tombe née à née avec le Roumain Vladimir il manqué plus que lui tiens je m’arrête net près a combattre je suis seul pas de Jane comme il me le fait tout de suite remarqué d'ailleurs

Oh tu est loin de chez toi tu sais et oui il m'arrive d’être loin de ma sœur....

Par simple réflexe pour ma vie je lui bloque son sens du toucher pour éviter qu'il ne me touche je suis en position de faiblesse et il le sais très bien

Que fait tu ici vladimir tu veux venir voir la famille pour jouer au cartes et compter les morts de ta très cher famille


Je le regarde dans les yeux il ne me fait pas peur mais je suis curieux heureusement mon pouvoir est sur moi sans ceux la je serai déjà mort .

J'en sautillerais d'excitation si je n'était pas si discipliné. Le jumeau en sorcellerie que je compte bien massacrer incessamment sous peu, là, devant moi. Et aucun signe de la blonde. Pas manque de flairer les alentours. Bon, il me manque Stefan pour savourer pleinement cet instant, mais j'ai deux millénaires de plus que cet enfant. Je devrais savoir y faire.

"Il y a bien longtemps que je n'ai plus de "chez moi". Toi et les tiens vous en êtes assurés." Je me relève pour lui faire face, le laissant volontiers penser que je lui donne l'avantage dans la conversation avant de planter le clou. "J'ignorais que Aro laissait ses chiens de garde sortir du palais." Je claque de la langue en signe de désapprobation. "Quelle grave erreur n'a-t-il pas fait là..."

La sensation qui me prend ensuite est des plus désagréables. Je n'ai pas besoin de dessin pour savoir que l'italien est passé à l'attaque, mais je me contente de relever la tête, tâchant de dissimuler mon malaise du mieux possible. Un seul mot d'ordre, rester sur mes appuis, et ne pas lui faire le plaisir de me voir chuter à terre.

"Méfie toi donc de ma famille, petit prince. Quand je t'aurai fait ravaler ton sourire, tu goûteras à leur propre sens de la justice. La vengeance est un plat qui se mange froid, très cher."

Ne sont-ils pas tous morts et enterrés, à l'exception de mon acolyte et moi-même? Si. Mais je fais partie de ceux qui croient à l'existence d'autre chose après la mort, n'en déplaise à Stefan. Et je compte bien livrer ce petit pédant aux crocs de nos chers disparus. En vérité, la seule question que je me pose, c'est ce que nous ferons après la destruction des Volturis. 1500ans d'une vie dédiée à la vengeance ne laisse pas grand place aux projets d'avenir.

Alors moi qui voulais me retrouver tranquille faut que je tombe sur le roumain en personne que je ne voulais pas voir et en plus c'est vraiment pas le moment j'ai jouer de mon sort assez vite je suis pas bête il est plus fort que moi

Oui je sais très bien on à veillez à ceux la et tu le sais très bien

Bon il veux jouer on joue sur les mots il ne peux rien me faire alors pourquoi pas le provoquer pour jouer j'adore faire ceux la

Alors ta famille je crois que vous n’êtes plus que deux mon cher toi et ton pathétique frère d'ailleurs tu n'est pas avec lui aussi d'ailleurs tu peu parler de moi qui n'est pas avec ma jumelle. Mais bon j'ai envie de jouer pas toi

je lui souris mais un sourire bien malsain de toute manière la je suis sur de gagner

Ses commentaires et surtout le ton amusé qu'il prend pour me les envoyer me font lâcher un grondement sourd, contenu dans ma gorge et résonnant pourtant autour de nous. il semblerait qu'un certain petit prince ai besoin qu'on lui apprenne le respect. S'il ne s'agissait de son don, il y a longtemps que je me serais fait le plaisir de lui décrocher sa jolie petite tête des épaules.

"Ne te méprend pas, enfant. Je te parle de ce qui t'attends une fois que je t'aurai envoyé en Enfer." Je lui offre un sourire mauvais avant de poursuivre. "Concernant Stefan, sa localisation ne concerne que lui."

Je n'irait pas lui dire que je sais mon frère sur le chemin du retour, et que je suis persuadé qu'il a déjà remarqué la présence de la vipère sur ces terres. Je n'ai pas pour habitude de montrer mes meilleures cartes avant d'avoir pu les jouer.

"Et pourquoi n'en profiterions nous pas? Je te propose un duel. Toi et moi. Pas de renfort, et pas de don. Si tu as encore un tant soit peu d'honneur sur lequel tu ne te sois pas essuyé les bottes."

Si je semble sur de moi? J'ai 2000ans de plus que ce petit roquet. Je pense être capable de mettre un "coup de pompe au cul" de ce morveux, pour reprendre l'un des chiens de compagnie des Cullen. Si je sais aussi qu'il ne saura pas perdre sans user de son don? Je n'ai jamais dit non plus que je respecterai la partie "sans renforts" du deal. Parce que ce n'est désormais plus vers moi que je sens la présence de Stefan. Plutôt en direction de la ville. 1500ans de solitude à deux, ça aide à n'avoir pas besoin de mots pour se comprendre.