Carlisle & Esmée

Pour toujours et à jamais

Je passe beaucoup de temps dans mon bureau, je le reconnais. Que ce soit pour des recherches, pour le travail ou encore simplement pour me détendre et faire le vide dans ma tête. Ces derniers temps j'étais plutôt à la recherche d'une façon de contrer Caïus. Qu'est ce qui pourrait bien l'intéresser encore plus que mes enfants ? J'en suis malade de les savoirs auprès de cet homme et je ne serais tranquille que lorsque j'aurais trouver une solution. Soudain, je sentis une odeur familière. Je ferma les yeux et l'huma pour qu'elle imprègne mes sens. J'avais bien entendu reconnus l'odeur d'Esmée, ma femme de puis quelques années maintenant. « Carlisle? est ce que l'on peut parler? J'ai besoins de ton aide c'est important » Me dit elle alors que pour toute réponse je préféra me précipiter vers la porte, fronçant légèrement les sourcils inquiet de savoir ce qu'il pourrait y avoir de si urgent.

«Entre Esmée. Je t'écoutes. Mais avant tout qu'est ce qui t'es arrivé ?» Lui dis-je alors que mon regard se posa vers sa plaie encore à vif.

« Une plaie si légère devrais s'être refermé. » Dis-je alors en inspectant sa nuque avant de soupirer.

«Esmée tu dois te nourrir. Veux-tu que nous allions chasser ensemble ?» Mon regard inquiet ne lui laissais guère le choix. Elle devait se nourrir qu'elle le veuille ou non.

Carlisle & Esmée

Pour toujours et à jamais

Si il y a bien deux choses que je détestais c'était de voir Esmée blessée et d'avoir l'impression d'avoir loupé certaines choses. J'étais le chef de ce clan et de par ce fait au courant de tout ce qui devais s'y passer mais c'était aussi à moi de prendre certaines décisions. Alors forcément apprendre que ma femme s'était faite attaqué par un nouveau né alors que personne ne m'avait informé de sa présence me déplaisait au plus haut point.

«Attend .. attend .. attend. Un nouveau né ? Comment se fait-il que je ne sois pas informé ? Si tu étais assez nourrie, la plaie se serait refermé. Nous y retournerons.» J'étais plutôt vexé. En tant normal j'étais tenu informé de ce genre de choses et là j'avais été mis à l'écart. Ce pouvait-il que ma propre famille me mette à l'écart ? Mais je n'étais pas au bout de mes peines. D'autres informations m'avait été dissimulées et plus la conversation avançait, plus mes sourcils se fronçaient.

« Garett est ici ? Bon sang Esmée comment se fait-il que tu ne m'en informe que maintenant ? Il va bien au moins ? » Une personne était en train de vivre dans mon grenier et moi je n'avais rien remarqué. Je commençait sérieusement à me demander si je n'avais pas trop baissé ma garde, omnibus par mes recherche de solution concernant mes enfants.

«Je n'en sais rien Esmée je n'ai jamais eu affaire à ce genre de situations. Présente t-il des symptômes de manque ? » Est ce que au moins il pouvait avoir des symptômes ? Après tout il était vampire dorénavant on peut donc oublier la fièvre. Cependant certains pourraient persister tels que les tremblements ou encore l'irritabilité. Je devais voir ce nouveau-né de tout urgence.

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Il est vrai que je ne me montrais pas tellement ces derniers temps. Et que je passais beaucoup de temps dans mon bureau. En aurais-je délaisser ma famille ? A présent c'était à moi que j'en voulait et non plus à Esmée. Un chef de clan tel que je le suis se devait d'être présent pour tous et non pas en abandonné certains quand d'autres ont besoin de mon aide. Les Cullens font toujours tout ensemble en tant normal et j'avoue avoir du mal à gérer la situation. Je la regardai alors d'un air coupable. Je passa mon pouce sur sa joue conscient que je n'avais pas été assez présent ces derniers temps.

«Je suis désolé. Je n'ai pas non plus été très disponible. Nous irons à la chasse ensemble, je vais m'occuper de toi comme je suis censé le faire en tant qu'époux. » Je déposa mes lèvres sur les siennes. Fermant les yeux à leurs contact. Esmée avait toujours été ma drogue. Elle savait comment me calmer, elle mieux que personne.

« Peut-être pourrions nous lui donner une chambre ? Il y sera plus à l'aise qu'au grenier.» Quels genre d'hôtes serions nous si nous ne prenions pas soins de nos invités ? Ce n'était pas dans notre nature. Nous étions de bons vampires et mettions toujours à disposition tout ce qu'il fallait à nos invités de tels façon qu'ils s'y sentent comme chez eux. Nous devions aider Garett.

« Si ce que tu me dis est vrai, il est très dangereux Esmée. Il nous faut l'aider. Un vampire ne peut se drogué, il en va de sa survie. Cela le détruirai. » Je n'osais pas imaginer les effets de la drogue sur un vampire ou encore même de l'alcool. Il es déjà extrêmement difficile de contenir ses envies, ses pulsions lorsque nous sommes nouveau né. Mais alors sous l'effet d'une quelconque drogue, je n'ose imaginer les effets.

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J'aimais le pouvoir qu'avait Esmée sur moi. Elle me rassurait et je me sentais utile en sa compagnie. J'avais été seul pendant très longtemps avant de la trouver et elle avait été à la hauteur de mes attentes. Elle était une partie de moi, sans quoi je ne pouvais fonctionner correctement. Ces derniers temps, j'étais en souffrance au vus de la situation, mais la voir là ici, me faisait du bien. Non pas que j'oubliais, bien que j'en avait terriblement envie .. juste un instant. Je colla mon front au siens et lui glissa un sourire.

« Comment un être aussi parfait a bien put se trouver sur mon chemin » Lui répondis-je alors avant de l'embrasser sur le bout de son nez le sourire au lèvres. Elle était mon évidence, la seule chose pour laquelle je n'avais aucun doute.  

« Il ne peut demeurer dans le grenier. Je vais essayer. Mais avant tout nous devons aller chasser. Je n'ai pas été depuis trop longtemps et je sens l'assèchement venir à grand pas. » Je lui tendis ma main. Elle n'était pas la seule à se préoccuper de toute cette histoire avec les volturis en y délaissant sa soif. Moi non plus je n'avais pas chassé depuis un moment et cela s'en ressentais. Je me sentais faible.

« Nous trouverons un moyen. Comme toujours. » En effet, nous avions toujours solution à tout chez les Cullens. Ensemble. Il nous faudrait trouver des solutions pour tout le monde comme toujours. Mais je me devais de rester fort, après tout j'étais responsable de ce Clan l'ayant moi même fondé. Je me devais de montrer la voie.

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Nous avions donc décider d'aller chasser. Il y a très longtemps qu'Esmée et moi n'avons pas chassés ensemble. Ces derniers temps nous ne faisons d'ailleurs pas grand chose tous les deux. J'avais l'impression d'avoir totalement délaisser ma femme et m'en sentais vraiment coupable. Mais je ne pouvais non plus délaisser mes enfants. Avec eux ma vie de vampire était devenue plus agréable et supportable. Depuis que j'avais trouvé ma famille, les envies de me détruire m'étaient passées. Aujourd'hui je voulais faire de mon mieux pour aider.

« Ça va mon amour ?» Avais-je dis alors qu'elle m'avait demander de ralentir un peut. Comme elle me l'avait expliqué elle avait plus de mal à s'arrêter, j'avais donc respecter ses recommandations qui étaient de m'écarter légèrement avant qu'elle ne puisse s'arrêter. Je la vis passer à toute vitesse à mes côtés, effectivement si je ne m'étais pas décaler elle me serait rentré dedans. Je l'aida à s'arrêter en la rattrapant de mes bras.

« Reste ici si tu veux, je vais te trouver quelque chose.» Je l'entourais toujours de mes bras quand je sentis une odeur appétissante. Je souris, cela sentait évidement pas aussi bon que le sang humain mais je m'en contentais depuis plus de trois cents ans maintenant. Je fila à toute allure en direction de l'odeur. La chasse était une de mes parties préféré. Je tomba sur un cerf sur lequel je planta mes crocs et lui brisant le cou.

« Tiens mon amour. Prend tout ce qu'il te faut. Je vais en trouver un autre je reviens.» Je déposa le cerf à ses pieds et partis de nouveau à grande allure. Je ne voulais la laissé seule. Nous devions nous retrouver et pour ça nous avions besoin de toutes nos forces.

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J'avais tout de suite vus qu'elle ne s'arrêterait pas si facilement et avait donc aider à stopper sa course. J'avais d'ailleurs bien ris à son remerciement. C'est vrai que malheureusement pour cet arbre, si rencontre il devrait y avoir entre lui et Esmée je ne donnais pas cher de la peau de l'arbre. Nous étions solide comme le roc et peut de choses semblaient capable de nous détruire.

« J'avoue que je préfère que ce soit moi que tu embrasse plutôt que cet arbre. » Dis-je en riant la regardant profondément dans les yeux. J'avais toujours eu ce regard pétillant envers elle. Elle était mon âme soeur, celle que j'avais tant attendue et enfin trouvé. Mon regard plongé dans le siens je jouais avec son nez contre le miens avant de déposer un baiser sur ses lèvres à nouveau et de partir chasser en un éclair. J'avais finalement réussis à me trouver une proie, la région en était plutôt bien peuplé, quand j'entendis Esmée me crier à l'aide. Je me stoppa immédiatement et partis dans sa direction en courant, craignant qu'elle ne soit en danger.

Je tomba alors devant Esmée, agenouillé devant une personne qui semblait avoir quelques problèmes. D'ailleurs il se mit à convulser. Je me précipita à ses côtés tout en écoutant ce que me disais Esmée. Je mis mes mains aux niveau des épaules du jeune homme, tentant tant bien que mal de l'immobiliser.

« Je ne peux rien faire ici, je n'ai pas mon matériel. Il faut attendre que ses convulsions cessent puis nous l’emmènerons à la maison pour le soigner. Toi tu finis de te nourrir. Tout de suite. » Je ne lui laissais pas le choix. Dans cet état elle ne me servirait à rien, hors pour aider ce jeune homme j'aurais besoin d'elle. Elle savait m'assister dans certains cas et puis il avait l'air d'avoir confiance en elle.

« Maintiens le de toutes tes forces.» Je me devais aussi d'être en pleine forme pour l'aider. Une fois qu'elle l'eu maintenu je finis également de me nourrir et je dois dire que je me rend compte que j'en avait franchement besoin. Les convulsions se calmèrent et finalement, je porta le jeune homme afin que nous l'emmenions chez nous.

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J'avais eu très peur en entendant les cris d'Esmée. Je savais qu'elle n'était pas bien loin mais surtout elle était sous nourrit. De ce fait si quelqu'un devait s'en prendre à ma femme à ce moment là, je ne sais si elle aurait été capable de se défendre. Du coup je m'étais précipité à ces côtés. Lui ordonnant de se nourrir de façon à pouvoir m'aider à deux cents pour cents. Les convulsions étaient violentes et même moi j'avais du mal à contenir le nouveau né.

« Les convulsions sont les premiers symptômes d'une overdose. Il nous faut le ramener chez nous aussitôt qu'elles se seront calmés. » Dis-je en regardant Esmée le plus sérieusement possible. On ne pouvais pas attendre si nous voulions lui sauver la vie. Je sais pas quelle serait la puissance d'une overdose sur un malade. Une fois finie de nourrir nous commençons à nous diriger vers la maison.

« Nous allons l'aider, mais il va falloir nous dépêcher Esmée. Si l'overdose arrive et que je ne suis pas à la maison pour la contenir, dieu sait ce que cela pourrait donner.» Sur ces paroles je commença à courir vers la maison. Il fallait maintenir au maximum le jeune homme. Car la suite allait être déplaisante.

« Aide moi à l'attacher, c'est pour éviter qu'il ne tombe.» Je l’installa sur le brancard que j'avais dans la salle d'examens de notre maison. Je passa les sangles autour de lui avant de fermement l'y attacher. Il allait falloir qu'il passe par diverses crises de manques s'il ne fait pas d'overdose ..

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Je n'avais jamais eu affaire à vampire qui se droguais. Je ne savais même pas que cela pouvait exister et j'étais face à mon premier cas. J'allais devoir faire mon possible pour l'aider mais pour ça j'allais avoir besoin d'Esmée. Je n'avais pas non plus besoin qu'elle s'inquiète trop. Je devais faire ce que n'importe quel médecin aurait fait et ce malgré le fait qu'il ai attiré la compassion de ma femme.

« C'est simplement pour éviter qu'il ne se blesse en tombant Esmée. Ne t'en fait pas je ne vais pas lui faire de mal.» Si je voyais que les liens allaient lui faire mal je les desserreraient légèrement. Mais il fallait le maintenir au maximum en cas de crise. J'étais en train de vérifier son état. Ce n'étais pas simple étant donné que c'était un vampire. Il n'avait ni constante, ni électrocardiogramme. Rien que mon jugement et seulement mon jugement pouvait attester de son état de santé.

« Je vais avoir besoin de toi Esmée. Il te connais, si c'est moi qu'il voit il va paniquer.» Lui dis-je en m'activant avec tout un tas d'ustensiles. Il me fallait être prêt en cas de danger imminent pour Esmée et moi, mais je voulais avant tout aider ce jeune vampire. Il était déconcertant d'en être un déjà mais alors drogué en plus. Cela me paraissait tellement improbable.

« Il va nous falloir le sevrer ce ne sera pas une partie de plaisir Esmée.» J'avais pris son visage entre mes mains, pour la rassurer de ma présence et en même temps pour qu'elle comprenne bien le message que j'étais en train de lui passer. Je ne sais pas si une crise de manque n'est pas fatale pour un vampire.

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Je sais pertinemment qu'elle à confiance en moi mais l'entendre me le dire me fait du bien. Même si je suis quelqu'un qui à une confiance en soit absolue lorsqu'il s'agit de médecine, sa présence me rassurait. De plus je connaissais le passé d'Esmée et je sais aussi parfaitement que voir cet homme attaché ne doit pas être une épreuve facile pour elle.

« Ça va aller t'en fait pas. Nous allons l'aider. Ensemble.» Je tentais de la rassurer elle aussi. J'avais besoin qu'elle ai les idée claires afin de pouvoir me seconder. Le fait que cet homme soit venu lui demander de l'aide et symptomatique d'un signe de confiance envers mon épouse. J’acquiesçais de la tête lorsqu'elle m'informa du fait qu'elle allait m'aider. Elle savait ce qu'elle devait faire, c'était instinctif chez elle même si elle en doutait bien souvent. C'étais .. comme si nous étions destinés à être ensemble.

« Bonjour. Tout vas bien nous ne te ferons aucun mal.» Dis-je en laissant tout de même Esmée le calmer. Ce qui avait l'air de plutôt bien fonctionné et j'en fut très heureux. Je n'aurais pas aimé avoir à le mettre sous anesthésiant pour le calmer, surtout s'il avait déjà une forte dépendance comme semblait me l'indiquer mon épouse.

« Malheureusement la morphine à haute dose injecté trop régulièrement entraine des signes de dépendances. C'est un opiacé, c'est comme une drogue. Nous allons devoir tout de même le sevrer. Il va falloir l'isoler et sur quelque chose de plus stable que ce brancard ou il va se blesser.» Ça n'allait vraiment pas être simple. Il allait se débattre dans les heures à venir. Il nous faudrait une salle ou il ne puisse se faire du mal. J'avais beau réfléchir, je ne pense pas que nous avions cela ici.

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Ici nous n'avions ni chambre stérilisé ni capitonné ou quoi que ce soit qui puisse permettre à ce jeune homme de ne pas se blessé. Il allait être très difficile de le laisser sans surveillance, sa vie en dépendait. Alors l'idée d'Esmée de le mener à l'étage n'étais pas totalement anodine.

« On pourrais oui. Il faudrait la vider auparavant. Il ne doit rien y avoir de dangereux.» Je m'apprêtais à lui demander de monter pour vider la pièce quand le nouveau né se remis à convulser. Décidement ça n'allait pas être simple de le sevrer. Après tout il valait certainement mieux le laisser dans une pièce vide le temps que son sevrage se fasse plutôt que de risquer d'être gravement blessé ou voir pire.. Je vis ma femme passer à travers la fenêtre. Encore une qu'il nous faudrait changer. Je savais qu'elle allait se réceptionner non sans mal mais je ne pouvais m'empêcher d'être inquiet quand même. Mais je me devais d'aider le nouveau-né alors j'allais à mon tour le maintenir de toutes mes forces. Je pris tout de même quelques coups au passage quand il se calma enfin à nouveau. Esmée revenant à mes côtés je me précipita vers elle.

« Je vais bien. Et toi mon amour ?» Dis-je la regardant sous toutes ces coutures. J'avais le nez légèrement déplacer et une large fissure sur la joue mais cela ne tardera pas à disparaître.

« Va vider la chambre d'amis. Je m'occupe de le surveiller.» Vérifiant au passage qu'elle allait bien quand même. Mais ça avait l'air d'être le cas. Du coup je l'envoya vider la pièce puisqu'il valait mieux que ce soit moi qui surveille Enzo.

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Il nous fallait à tout prix assurer la sécurité d'Enzo et pour ça il nous fallait adapté la pièce dans laquelle nous le laisserons effectuer son sevrage. Il ne fallait absolument pas qu'il ai un quelconque moyen de se blesser et je savais qu'Esmée saurait parfaitement remplir cette tache. Elle était partis en un éclair ne me laissant aucun moyen de voir sa blessure. La mienne se refermait assez rapidement. L'avantage d'être un vampire.

«Prend ton temps mon amour. Je peux m'occuper de lui.» Pendant qu'Esmée s’occupait de l'étage, je retourna vers mon patient. Ce dernier ne nous avait pas ménager et donc il ne fallait pas qu'une telle chose se reproduise. J'allais donc jeter les liens qu'il avait cassé et retourna donc auprès de lui. Il avait l'air plutôt dans les vapes et comme je ne savais pas trop ce qu'il avait pris mise à part de la morphine je ne pouvais l’anesthésier. C'est le moment que choisie Esmée pour redescendre alors que j'étais en train de l’ausculter.

« Parfait. Emmenons le là-haut alors.» Je pris le jeune homme dans mes bras et monta à l'étage. Je le plaça dans la pièce qu'Esmée avait préparer et ferma la porte m'assurant qu'il ne pourrait pas l'ouvrir. Nous allions devoir faire bien attention à lui et surtout à nous. Je me retourna vers ma femme et alla l'enlacer. C'est en passant mes mains dans son dos que je remarqua le sang qui coulait de son dos.

« Esmée quand cessera tu de me cacher des choses ? » Je savais bien que sa blessure allait pas tarder à se refermer vu qu'elle s'était correctement nourrie mais elle m'avait caché sa blessure tout de même.

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J'étais et je suis un époux plus que protecteur. Je ne suis jamais bien loin d'elle et surveille qu'il ne lui arrive rien. Cependant je ne peux toujours être présent. Je ne peut l'être autant que je le voudrais, notre couple étoufferai. Mais lorsque je suis présent, j'essaie d'être aussi aimant et attentionné que doit l'être un mari. Elle est la femme que j'aime, un être parfait, je voudrait en être un également pour elle.

«C'est un crime d'enlacer sa divine femme maintenant ? » Dis-je en riant allant déposer mes lèvres contre les siennes. J'aime Esmée de tout mon être et j'ai l'impression d'être incomplet lorsqu'elle n'est pas présente.

« Viens je vais te soigner. J'ai toujours voulu jouer au docteur avec toi. » Je ris tout en lui prenant la main et l'emmenant dans la salle de soins que nous avions rapidement aménager à la maison connaissant tous les types de drames qui puissent arriver à notre famille. Je la fit s'assoir sur le brancard et alla chercher une pince puis me mit dans son dos et commença à enlever délicatement les bouts de bois et de verres que la fenêtre avait laissé au passage d'Esmée.

« N'hésite pas à me dire si c'est douloureux. » Je faisait ça le plus délicatement possible mais je n'étais pas à l'abris de lui faire mal. Chose que je voulais à tout prix éviter.